Costard blanc, lunettes fumées, moustache de mec qui connaît la vie, le numéro de téléphone de ta go et l'adresse du sauna crapuleux le plus proche : Bernardino Femminielli pourrait venir de l'époque où les musiciens ressemblaient aux morceaux qu'ils produisaient. Preuve avec cette sublime ressortie de Mind Records , "O Sodoma" (qui est ce que votre prof d'anglais du collège appelait un "mot transparent"). Qu'il soit en fait canadien et qu'il décrive son dernier LP comme un "roman-album sur le crack" peut être déconcertant au premier abord, mais en fait c'est encore mieux. On arrête d'écrire et on vous laisse vous plonger dans ces 3 minutes et 08 secondes de pur stupre disco-transalpin que vous pouvez vous procurer ici.
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