Quel puits sans fond que les films éducatifs nord-américains. Nous sommes en 1976, Jean-Michel Basquiat a 16 ans et commence à peine à inonder Manhattan de SAMO, et le plus grand adversaire des graffiti artists, le maire de New York Ed Koch, n’a pas encore déclaré la War On Graffiti, que déjà le système éducatif américain prend le problème très au sérieux. Pour preuve ce 13 minutes diffusé dans les classes, saucissonné d’un savoureux jingle composé pour l’occasion et posant la question: le graffiti, sympa ou débile?
Mises en scène foireuses dudit délit, foire au mauvais goût sur les murs en carton-pâte érigés pour les besoins de la production, vrais-faux débats entre élèves pas contents et personnel éducatif absolument au fait de la pratique, on remercie Dangerous Minds pour avoir levé cette petite sucrerie.
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