Personnellement j’y connais pas grand chose mais à ce qui parait, l’un des décors privilégiés des films pour adultes est la salle de classe.
Ce n’est pas très compliqué à mettre en place, quelques chaises, des tables, une maitresse, un écolier monté comme un poney et un tableau noir.
Ce tableau noir, va savoir pourquoi, personne n’y prête jamais attention. Et pourtant dites vous que sur chaque tournage de pornifle qui a lieu dans une salle de classe, il y a un assistant déco bienveillant qui se met la rate au court bouillon pour écrire sur le tableau noir ce qui lui reste de souvenirs de cours de physiques, maths ou géographie.
A l’école, ce futur assistant déco à la petite semaine rêvait a un futur ensoleillé. Ce qu’il apprenait à l’époque semblait être vain et sans utilité pour l’avenir. La belle leçon de vie, c’est qu’un jour, ces cours rébarbatifs lui serviraient à remplir un tableau noir présent dans un décor de film de boule.
Un bloggueur anonyme a eu l’idée de génie un jour de se pencher sur la question et s’est rendu compte que ces tableaux noirs ne contenaient pas que des inepties (on imagine la scène, paquet de kleenex posé sur la table basse, le gars a une révélation: “hé mais c’est le théorème de pythagore!”).
Le résultat de ses recherches se retrouve compilé dans le fantastique Blackboards in Porn, où l’on apprend qu’entre deux cabrioles, nos petits écoliers bûchent sur la trigonométrie, la formule chimique de l’acide d’orthosilicium, l’empire Russe ou tout simplement 1+1=2. Pour chaque scène, une analyse en profondeur de l’exposé est faite.
En grand passionné de physique quantique j’ai tout de suite décidé de me procurer College Sluts vol. 4 pour parfaire mes connaissances.
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