En l’espace de deux remixes pour Foals et The XX, les deux rosbeefs de Mount Kimbie ont fait tache d’huile sur les interwebs.
Signés sur Hotflush, label dirigé par un cador du Dubstep (Paul Rose aka Scuba), Dom Maker et Kai Campos ont littéralement poussé les murs du genre avec leur premier album Crooks and Lovers.
On parle de post-dubstep, Dubstep pastoral, minimal Dubstep, bref tout le monde s’arrache les cheveux pour essayer de caser Mount Kimbie dans un genre en particulier. On vous épargne toute tentative de notre part, si ce n’est de dire que Mount Kimbie fait de la Dance Music indansable, à mi-chemin entre Burial et Boards of Canada (en gros tout et n’importe quoi).
Car au final, le seul point commun entre le Dubstep et Mount Kimbie, c’est la difficulté à les définir dans un cas comme dans l’autre, tant le sujet est vaste et les influences éclectiques. On essayera donc de s’en tenir aux faits.
Ce que l’on sait de source sûre, c’est qu’il est inutile de chercher le Mont Kimbie sur une carte, il n’existe pas, vous n’y passerez pas vos vacances.
On sait aussi qu’ils ont été biberonnés au Grime et Uk Garage, une enfance passée pour l’un dans les Cornouailles et l’autre à Brighton.
Le groupe s’est formé en 2008 à la Southbank University de Londres et sont des proches du très prometteur James Blake, autre fleuron de cette scène “???-Dubstep” qui aura le mérite d’emmener le genre plus loin, pour mieux l’enterrer.
Merci à Wikipedia pour ces précieuses informations.
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