Pas la peine de vous pondre un pavé ou de vous dessiner un schéma, si vous êtes un lecteur habitué de nos colonnes, vous attendez sans doute ce disque avec le même mélange de circonspection, d'ennui prospectif et d'espoir secret que la rencontre entre Géant Walker et les deux gnomes en toge donne autre chose que la superposition exacte de leurs oeuvres récentes respectives (du drone, des pets, et la voix de plus en plus traînante et désespérée du dark crooner américain) que nous. Notez que le minuscule extrait ci-dessous contient la bagatelle de trois accords différents (dont un en majeur), ce qui est une bonne raison d'espérer des surprises.
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