À The Drone, parce qu'on est avant tout une belle brochette de professionnels, on a déjà commencé à lister nos disques préférés de l'année. On a commencé à lister les pires aussi, mais c'est hors-sujet par rapport à ce que je vous raconter. Et dans cette liste, il y a par exemple écrit au crayon papier "Leon Vynehall, Music for the Uninvited, 3024"). Contrairement à d'autres, il n'est pas écrit au marker à cd, ce qui veut dire que sa présence dans la Toplist à paraître aux alentours du 12 décembre 2014 reste à discuter. Mais il n'est pas totalement exclu qu'il y soit non plus.
Tout ça pour dire qu'on a plein d'amour en stock pour la UK house très maligne et très musicale de l'Anglais et que l'inédit qu'il lâche à Will Saul (boss de Aus Music, pour ceux qui ne prennent pas de notes) n'est pas pour nous déplaire non plus. Sur une base deep et étouffée à la Moodymann (évidemment), Vynehall y déploie même pour la première fois un tapis mélancolique du genre auquel nous ont habitué les petits coeurs sensibles de Kompakt ou John Talabot et la conclusion est sans appel: ça lui va très bien au teint.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de nos cookies afin de vous offrir une meilleure utilisation de ce site Internet.