Bon je viens de vérifier dans les archives, les oraisons funèbres c'est pas trop dans les habitudes de la maison. J'ai quand même envie de faire une exception pour Robendra Ravi Shankar, cette immense, immense figure de la musique indienne qui enseigna le sitar et la musique carnatique à George Harrison, collabora avec Yehdi Menuhin ou Phillip Glass et convertit un temps l'occident aux milles et une joie de la méditation sur un bourdon. Ne serait-ce que pour cette dernière anecdote (bourdon -) drone -) the drone) vous avouerez que c'était justifié. Et si ces trois lignes de nécro sont bien maigres en égard à l'influence de ce grand monsieur, voila un beau documentaire qui prendra le relais sur ma faible connaissance en la matière. A mater ce midi sur l'écran de l'ordi, à la place du Grand Journal de la veille (on vous connaît par coeur).
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