Pour l'instant, on n'a pas le droit de vous révéler grand chose de plus sur HAN que ce qu'on peut en voir dans le trailer vidéo ci-dessous et comme on déteste la paraphrase, on s'abstiendra de vous raconter ce qui s'y montre (même si ce n'est pas l'envie qui nous manque de vous lâcher un laïus sur les komusō, dont deux specimens s'affichent dans la capture d'écran ci-dessus, ou sur les okiya, les maisons où les geisha séduisaient de leurs charmes et de leur art leurs augustes clients le temps de leur contrat); la voix de Narumi de Tristesse Contemporaine y narrant un petit poème assez éclairant en Japonais, on vous en livre tout de même une traduction, généreusement fournie par les bonnes gens de Tigersushi:
"Nous sommes Han. Les komusō du couchant. Nous sommes libérés de l'ego. Débarrassés de ce qui abîme la musique. Nous ne faisons pas de l'art. Nous sommes juste des artisans. Nous vous ouvrons les portes de notre Okiya. Chaque musique est une femme. Chaque femme est un aspect. Aussi différentes que les paysages d'Edo. Il n'y a pas d'élément de langage. Pas de sémantique. Il n'y a que de la musique, les corps. Nous sommes Han Et vous pouvez aussi nous appeler "…" HAN. Okiya Ep. Sur la maison de disques Tigersushi. Bienvenue."
Bienvenue à HAN, donc, et rendez-vous bientôt sur Tigersushi pour écouter leur premier Okiya EP en entier.
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