En 1987 sortait dans les salles obscures un classique criminellement sous-estimé, Surf Nazis Must Die. L'intrigue se situe en Californie dans un futur proche. Plage, sports nautiques et soleil au beau fixe, tout roule jusqu'à ce qu'un séisme de magnitude effroyable dévaste toute la côté Ouest américaine et offre le terreau idéal à l'apparition d'une menace "bien plus terrifiante que la mort et la destruction" : les surfers nazis.
Et Cosmo Vitelli dans tout ça ? Eh bien le patron de I'm a Cliché trace avec "The Cemetery of Unsigned House" un improbable axe Toulouse Low Trax (le roulement de 303) - Dick Dale (les guitares surf) qui encapsule parfaitement tout l'esprit apocalypse-mojito du long-métrage, combat de nunchaku et ride en Harley-Davidson compris. Une version dystopique du "Strandbar" de Todd Terje qui s'écoute ci-dessous, extraite d'un maxi 4 titres qui sera disponible le 6 mars et se pré-commande ici.
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