Notons à la volée après une première écoute au tomber du lit: que plus de la moité de l'album est produite et / ou composée par les Flaming Lips ou Dennis Coyne, le neveu de Wayne; que Wayne Coyne et le mot "fuck" font leur apparition simultanée dès la sixième seconde du premier morceau et qu'il y a un morceau de trap complètement débile qu'il s'appelle "Fuckin Fucked Up"; que le disque débarque de manière "surprise" mais avec un article du New York Times pour l'accompagner; que certains morceaux comme les très beau "The Floyd Song" ou "Karen Don't Be Sad" sonnent comme du Flaming Lips pur jus, époque Yoshimi Battles the Pink Robots, et que ça fait des papillons dans le ventre; que tout ça est plutôt pas mal cool et que promis juré, on en reparle si on l'écoute plus de trois fois en entier.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de nos cookies afin de vous offrir une meilleure utilisation de ce site Internet.