OK je fais vite. Tout ce qu'on voit dans ce clip est cool. Au début, on y observe trois specimens EDM-#seapunk-instagram-pupute-mdma-connectés de genre féminin et cacopyge se trémousser mollement sur un air de steeldrums midi et de couinements de dauphins. Mais les dames s'ennuient. Arrive alors par les airs une Black Goddess callipyge de 10 mètres de haut qui les sauve de leur funeste destin en leur injectant du gras dans le derrière. Après, c'est un ballet de paire de fesses de tous les formats et tous les horizons qui se meuvent dans tous les sens et dans toutes les positions pendant deux bonnes minutes. C'est tout. En même temps, le titre du morceau (le meilleur de Free the Universe, IMHO) ne mentait pas sur la marchandise. De mémoire, on n'avait jamais vu un petit blanc s'épancher sur son amours des grosses fesses de manière aussi insistante et prosélyte. C'est très cool. Diplo utilise très bien son argent.