Pour rappel, le plus célèbre représentant de l'Ecole de Francfort est devenu, après la guerre, un amateur assidu et défenseur passionné de la musique d'avant-garde et un farouche opposant des avatars de musique populaire de son temps, qu'il considérait comme des signes avant-coureurs du fascisme (petit exemple extrait de sa Philosophie de la nouvelle musique: "« Une sociologie critique de la musique devra rechercher dans le détail pourquoi, aujourd'hui, autrement qu'il y a encore 100 ans, la musique légère est mauvaise, doit être mauvaise sans exception »). Bisou à Etienne Menu et Agnès Gayraud pour le tip.
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