Bon, puisqu'on est à la bourre là-dessus (merci à toi, bien aimable PR.), autant regarder ce qu'il s'est déjà dit sur ce deuxième album de nos petits soldats de Vancouver, chez nos voisins outre-Atlantique. Voilà ce que dit la chronique Pitchfork : "à l'inverse des groupes indie qui ont percé en 2009, Japandroids ne s'accrochent pas à leur jeunesse par nostalgie". Pour la chronique de The Drone, ce sera l'exact inverse.
Amateurs de nouveautés, fatigués de ritournelles qui sentent la garçonnière, abstenez-vous. Ce disque a bien été fait In The Garage. Et c'est bien la raison pour laquelle il est cool. Pour sa bétise profonde, sa naïveté crasse, pour la tendresse que nous inspire ses deux auteurs, et voici pourquoi :
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