Pour rappel, Pauline Kael est l'une des critiques de cinéma les plus importantes de l'histoire de la presse américaine. Elle écrivait dans City Lights, The New Republic et surtout le New Yorker entre le milieu des années 50 et le début des années 90, où sa plume était à la fois crainte et immensément respectée. Elle fut parmi les plus ferventes supportrices de Sam Peckinpah, Robert Altman, Coppola ou Walter Hill. De manière notoire, elle détestait également profondément le cinéma de Stanley Kubrick. Ses écrits sont disponibles en français aux éditions Sonatine.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de nos cookies afin de vous offrir une meilleure utilisation de ce site Internet.