On n’a même pas encore acheté notre calendrier de l’Avent Kinder que Laurent Garnier nous resssort l’édition limitée de son concert de mars 2010, salle Pleyel. Parmi les bonus, une interview qui répond à la question con : comment a-t-il vécu ce moment ?
Si encore on le voyait vomir de trac dans un flight case deux minutes avant le concert… Et non, Papy Lolo débriefe la soirée avec un étalage de bons sentiments. Il ne lui manque que la pipe, la robe de chambre et les pantoufles lorsqu’il s’extasie, la larmichette à l’œil, d’avoir fait se lever un public neurasthénique : “J’ai eu les poils qui se sont hérissés, j’ai cru que c’était un rêve….”. Super.
Faudra qu’il pense à relire son autobiographie, car pour quelqu’un qui s’est vautré dans la boue des premières raves britonnes, il y a de l’encroutement dans l’air.
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