Le morceau s'appelle Christmas Unicorn (téléchargement gratuit ici), la pochette est au moins aussi moche que son auteur (la plus belle tête de prof de pilates de l'indie music), et se termine en mash-up de Love Will tear Us Apart. Autant vous dire que le gars cherche la merde.
Et pourtant, non, Sufjan Stevens ne figurera pas dans la shitlist cette année. Son nouvel album sort en novembre prochain, et voici qu'aujourd'hui (la semaine dernière en fait, mais j'avais la flemme d'écouter), est lâché sur les internets un premier appât de 12 minutes et des cacahuètes qui vient de finir de shamaniser mon cerveau abruti par un week-end d'écoute du dernier Death Grips.
58ième morceau de son méga-coffret de noël intitulé Silver & Gold Box, Christmas Unicorn fait passer le songwriter du côté Chad-Vangaalen de la force. Et ce sentiment de frayeur que je fuis comme la peste, mais néanmoins ne ressens depuis son précédent The Age of Adz (la très très triste opération du malheureux qui, se lance seul sur scène avec sa guitare, son petit coeur et ses chansons) s'est envolé comme vache qui pisse au soleil.
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