Allez, je vous les fais toutes juste pour rire: “une vague de froid venue de Suède”, “un chanteur charismatique au dessus duquel plane le fantôme de Ian Curtis”, “le chainon manquant entre Suicide et Cabaret Voltaire”, “un vent de poésie nihiliste dans ce monde de brutes”, “comme si la voix mélancolique de Dave Gahan embrassait les synthés givrés des Cure de la grande époque”.
Plus sérieusement: formés en 2008 à Stockholm, on doit à ces cinq Suédois, très largement on le devine imprégnés des références sus-citées, deux albums sortis sur le label néerlandais Enfants Terribles. Les voici de retour avec un nouvel opus qui sort en février prochain, Irish Recording Tape. Et on aura le temps d’en reparler.
Pour l’heure, les premiers clips. Comme si Warsaw renaissait de ses cendres ...
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