Comment s'occuper entre Sonic Protest et Villette Sonique, en attendant que le printemps arrive et que Nadine Morano ne soit plus qu'un mauvais souvenir ?
À Paris et Dijon c'est tout trouvé : se faire une ou plusieurs des 12 dates du Humanist Records Festival. C'est la troisième édition de ce petit festoche indé monté en dehors des heures de boulot et dont The Drone est partenaire.
À l'origine, il y a un label – Humanist Records, plutôt post-rock, qui a notamment sorti le dernier Chelsea Wolfe – et peu de moyens ; à l'arrivée, une affiche qui fait saliver et une belle sélection de ce que la France indé a produit sous l'ère Sarkozy : les guitares improvisées de Marc Sens/Nicolas Desmarcheliers, l'ambiant psyché de Cankun, le punk de Morse et Never Again, et plein d'autres trucs pas français de Sand Circles à Matt Elliott.
Dans un élan de générosité post-sarkozyste, Humanist Records Festival et The Drone vous refilent quelques places pour aller voir :
- la sacré soirée du 11 mai au Point FMR, avec que du bon (Berline 0.33, JC Satan) et notamment le dark-minimal clubbing poisseux des désaxés lorrains de Scorpion Violente.
- la soirée rock du 13 mai à la Mécanique Ondulatoire, dont la cave qui refoule la mousse bon marché accueille Carla Bozulich et les noiseux de Ned et Feu Machin.
Remplissez le petit formulaire ci-dessous et vous pourrez même rencontrer les artistes en restant près du bar.
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