Le nouveau Lee Gamble est donc au coin de la rue.
Il s'appelle KOCH, il sort de nouveau sur Pan et ne s'empêtre cette fois d'aucun sous-texte conceptuel du genre qui rendait Diversions 1994-1996 ou Dutch Tvashar Plumes si repoussants pour les fans de tech house et si réjouissants pour les pisse-froids du genre de ceux qui écrivent pour The Drone. C'est juste un très (très) bon album de meta techno très deep, très maligne et très vibrante, rempli de trous noirs et d'avatars de cette dance music qui n'est pas à proprement parler de la dance music mais une évocation au second degré de dance music, dont les beats et les nappes ont tous l'air d'avoir été photocopiés et rephotocopiés 10 fois de suite mais dont au moins 50% demeure très mixable par les disc jockeys spécialisés (you know who you are).
En d'autres termes, si vous êtes faits de la même étoffe que nouzautes, vous allez en bouffer avec bonheur tout l'automne; accessoirement, on en reparle bientôt en long et en large, puisque l'Anglais est le sujet de notre prochaine interview video.
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