Doomed 04:21
Soichi Terada & Nami Shimada - Sunshower 05:22
"SAUNA" by Mount Eerie (official video) 05:23
Housewives - Balm (Icaria Sunstroke) 04:55
Cockpit - Inside me 02:18
Constantly Hating Yung Thug Ft Birdman (Audio) 04:28
T.O.D.D. 07:12
Colin Stetson and Sarah Neufeld - “The rest of us” (Official Music Video) 06:33
SOPHIE - MSMSMSM (Official Stream) 03:36
Tame Impala - Let It Happen 04:17
07 Voices from the Lake - Max [Editions Mego] 13:04
JC SATAN - I COULD HAVE DIED 03:01
Zenker Brothers - TSV WB 06:04
Joanna Newsom "Sapokanikan" (Official Video) 05:14
Jim O'Rourke - Friends With Benefits 05:25
Levon Vincent - Junkies on Hermann Strasse 07:01
Earl Sweatshirt - Grief 04:31
Helena Hauff - 'Spur' 04:22
Mutant Standard 08:07
Domenique Dumont - Comme Ça 03:48
20. Domenique Dumont - Comme ça
Visiblement en Lettonie, l'Île Fantastique c'est encore un gros carton à la télé.
19. Soichi Terada presents Sounds From The Far EastDans les années 90, les Japonais faisaient encore tout mieux que tout le monde, les motos, les magnétoscopes et la house du New Jersey.
18. Mount Eerie - SaunaPlutôt qu'écouter PNL à l'Aquaboulevard, délectez-vous de Mount Eerie au hammam.
17. Housewives - WorkY'a pas à dire, rien ne vaut un coup de canif sur une guitare en barbelés.
16. Cockpit - CockpitPochette horrible, typo dégueu, vous voyez bien qu'on écoute encore les disques.
15. Kitchen's Floor - Battle of BrisbaneElle est cool, la musique dans ce bar.
14. Young Thug - Barter 6La meilleure chose qui soit arrivée à Jamie XX.
13. Wolf Eyes - I Am A Problem: Mind in Pieces Des vraies chansons, le label de Jack White, et une pochette nichons. Bande de vendus.
12. Colin Stetson & Sarah Neufeld - Never Were The Way She WasSarah est venue filer un coup de grinceux pour laisser souffler Colin.
Colin Stetson and Sarah Neufeld - “The rest of us” (Official Music Video)
11. Sophie - ProductEntre pur génie et abomination, ça s'est à joué à plouf-plouf.
10. Tame Impala - CurrentsOn a enfin trouvé un sujet de conversation avec les ingés son.
09. Voices from the Lake - Live at MAXXIPour votre gouverne, le morceau en écoute ci-dessous est une reprise de Paolo Conte.
![07 Voices from the Lake - Max [Editions Mego]](/__cache/robert/img/__db/localhost/ledrgnpu_drone/pp/uids/73039/Youtube/aHR0cDovL2ltZy55b3V0dWJlLmNvbS92aS9PRnFDM045eGliUS9ocWRlZmF1bHQuanBn-encoded-64-dwd.jpg/100-100-nb/888888-80.jpg)
08. J.C.Satàn - J.C.SatànDans la France de The Drone, Téléphone s'appelle J.C.Satàn. Ils se séparent après cet album, se reforment 20 ans plus tard, et tout le monde râle parce qu'il manque la bassiste.
07. Zenker Brothers - ImmersionUne tata gérante de club à Munich dans les 90's, papa et maman aux commandes de soirées techno, autant vous dire que chez les Zenkers, on n'écoute pas du schlager à Noël.
06. Joanna Newsom - DiversNuméro 1 de la Toplist The Drone en 2010, on a passé cinq ans à se demander si on avait pas fumé les rideaux, et puis elle a refait un disque.
05. Jim O'Rourke - Simple SongsEnfin une réunion Copains d'avant qui se passe bien.
04. Levon Vincent - Levon VincentOn lui laisse l'ordi, mais on lui coupe Internet.
03. Earl Sweatshirt - I Don't Like Shit, I Don't Go OutsideFinalement le meilleur de la bande, c'était celui qu'était pas drôle.
02. Helena Hauff - Discreet DesiresPlus besoin de se coller les fonds de tiroir minimal synth à 300 balles sur discogs. Filez votre blé à Helena.
01. Oneohtrix Point Never - Garden of Delete
On a passé tellement de temps à répéter que la musique de Oneohtrix Point Never parlait bien de notre époque et qu’elle était pleine de secrets à déchiffrer qu’on a oublié de dire l’essentiel : elle est surtout belle à se damner. Complexe, sidérante, qui colle un peu trop aux doigts quand on la manipule, oui bien sûr, tout ça est très juste ; mais il faut aussi parler de ce que cette complexité, cette viscosité font exploser comme émotions dans le coeur et se rendre compte à quelles point elles sont précieuses dans le temps qui est le nôtre. A l’en croire, Daniel Lopatin a procédé le plus simplement du monde pour pondre le monstre Garden of Delete, suivant le fil des obsessions, des dégoûts, des résurgences de la musique qui faisait battre son coeur pendant son adolescence. On se dit donc qu’il y a une leçon à en tirer : il faut toujours écouter les geeks et les illuminés. Disque boussole, on l’a dit, Garden of Delete est aussi, surtout, un grand bol de grande musique auquel on ne cesse de s’étonner qu’il fasse si bon se ressourcer.
