Après l'ovation faite à Coachella, on assiste un peu impuissant au consensus face à l'affiche de Lollapalooza Paris, et franchement, on a beau se gratter la tête, on ne comprend pas trop...
La déclinaison parisienne du festival US reprend deux logiques dominant la politique de force de vente de l'industrie du divertissement :
1/ C'est par l'accumulation qu'on crée l'envie. On balance 40 noms de "gros groupes". Posés côte à côté ça impressionne non? C'est un peu la même logique qui prévaut aux succès de Expendables et du golden menu de McDonald's. La digestion ce sera pour plus tard. Et tant pis si ça veut dire rester enfermé dans un lieu clos avec Liam Gallagher et Martin Solveig.
2/ Pourquoi s'embêter à créer quelque chose de nouveau quand on peut importer une marque qui a fait ses preuves ?
C'est un peu la même logique qui prévaut aux succès de Starbucks Coffee et de Saw 6 (lol). Et tant pis si ça veut dire violer le fantôme de la culture alternative des années 90.
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