UPDATE: Ca y est, c’est fini, on vous l’avait dit, une semaine seulement! Vous retrouverez très prochainement Agoria en interview+live!

Il y a dix ans tout rond l’internationale techno découvrait Sébastien Devaud alias Agoria, avec la sortie de sa magnifique Onzième Marche. Depuis, le jeune lyonnais a sorti trois albums (Blossom en 2003, The Green Armchair en 2006, et  la B.O. de Go Fast en 2008) et une guirlande de maxis, a fait le tour du monde en 80 jours, et s’est révélé très bon co-gérant de sa maison de disque InFiné, avec notamment des découvertes comme Arandel.

C’est donc avec grand plaisir que nous accueillons en exclusivité, et pour une semaine seulement, son nouvel album, Impermanence, sur The Drone!

Après avoir multiplié les collaborations XXL (Peter Murphy de Bauhaus, Neneh Cherry, Princess Superstar…), Agoria remet le couvert sur Impermanence avec un casting de première classe: la jeune chanteuse ricaine Kid A, Carl Craig qui nous susurre une véritable ode à l’amour sur le dancefloor sur le très housy Speechless, ou encore Seth Troxler qui nous invite quand à lui à lâcher prise sur Souless Dreamer (sacré Seth).

Bizarrement, on ne retiendra pas nécessairement ces prestigieux featuring… Notre pari s’oriente plus vers des morceaux comme Panta Rei, Little Shaman, ou Grande Torino à la prod impeccable, classe, et parfaitement maîtrisée, avec lesquels l’album se hisse comme l’un des sérieux compétiteurs Deep house de l’année qui débute.

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